Russie Immersion chez les nomades de Sibérie
Voyage unique dans l'Oural polaire : séjour d'immersion chez les nomades éleveurs de rennes lors de la migration d'automne au cœur de la toundra colorée, en compagnie d'un guide français. Partir à la rencontres des minorités de Sibérie qui élèvent leurs rennes n'est pas une expérience anodine. Quitter notre confort pour aller partager quelques jours leur quotidien si éloigné du nôtre permet de réaliser le fossé qui sépare nos cultures. Car c'est bien par choix que les familles que nous allons rencontrer vivent encore selon leurs traditions, à l'écart du "progrès". C'est la force de ce peuple qui résiste à l'appel de la modernité et au rouleau compresseur de l'état russe.
« Cœur de l’Oural »
Du 05 au 16 septembre 2022
Laissez-vous transporter dans un autre monde,
celui des nomades éleveurs de rennes de Sibérie
celui des nomades éleveurs de rennes de Sibérie
L'esprit de ce voyage d'immersion dans l'Oural polaire
Un voyage unique chez les nomades éleveurs de rennes de l'Oural, en plein été indien
Depuis de nombreuses années nous étions à la recherche d'une façon authentique d'aller à la rencontre des peuples du Nord, en Sibérie. Nénètses, Komis, Evènes, Tchouktches, autant de noms évocateurs de peuples indigènes de Sibérie, de minorités en danger face à l'industrialisation et à l'impérialisme d'état, qui leur a fait perdre leurs terres face aux industries d'état.
C'est un peu par hasard qu'en juin 2018 notre guide et ami de longue date Alexey nous parle d'un voyage qu'il a réalisé à l'automne 2017 avec un autre ami, pour aller précisément à la rencontre de ces éleveurs de rennes, au Sud de la péninsule de Yamal. Il nous a partagé les nuits sous leurs "tchoums", ces vastes tipis dans lesquels ils vivent, et le quotidien qu'il a vécu chez eux, dans la toundra arctique de l'Oural polaire.
Un récit fort qui nous a poussés à aller voir par nous-mêmes, en septembre 2018, la réalité de ces éleveurs de rennes. Nous avons choisi d'y aller à l'automne, lorsque le froid commence à transformer la toundra en une palette de peintre aux couleurs chaudes, période à laquelle nous avions de bonnes chances de pouvoir vivre leur migration à bord de traineaux tirés par les rennes. Ce premier voyage de reconnaissance, mené par Alexey et notre ami guide photographe Nicolas, a tenu toutes ses promesses : loin de l'agitation du monde, ce peuple a choisi de vivre selon son mode de vie traditionnel, et perpétue ainsi des traditions ancestrales basées sur l'élevage des rennes, l'animal qui leur fournit tout ce dont ils ont besoin au quotidien. Les photos ramenées par Nicolas rendent un vibrant hommage à ces hommes de la Terre. C'est ce voyage rare que nous proposons de vivre à votre tour.
C'est un peu par hasard qu'en juin 2018 notre guide et ami de longue date Alexey nous parle d'un voyage qu'il a réalisé à l'automne 2017 avec un autre ami, pour aller précisément à la rencontre de ces éleveurs de rennes, au Sud de la péninsule de Yamal. Il nous a partagé les nuits sous leurs "tchoums", ces vastes tipis dans lesquels ils vivent, et le quotidien qu'il a vécu chez eux, dans la toundra arctique de l'Oural polaire.
Un récit fort qui nous a poussés à aller voir par nous-mêmes, en septembre 2018, la réalité de ces éleveurs de rennes. Nous avons choisi d'y aller à l'automne, lorsque le froid commence à transformer la toundra en une palette de peintre aux couleurs chaudes, période à laquelle nous avions de bonnes chances de pouvoir vivre leur migration à bord de traineaux tirés par les rennes. Ce premier voyage de reconnaissance, mené par Alexey et notre ami guide photographe Nicolas, a tenu toutes ses promesses : loin de l'agitation du monde, ce peuple a choisi de vivre selon son mode de vie traditionnel, et perpétue ainsi des traditions ancestrales basées sur l'élevage des rennes, l'animal qui leur fournit tout ce dont ils ont besoin au quotidien. Les photos ramenées par Nicolas rendent un vibrant hommage à ces hommes de la Terre. C'est ce voyage rare que nous proposons de vivre à votre tour.
Nous avons choisi d'atteindre l'Oural polaire en train : un voyage lent qui nous permet de nous immerger doucement dans l'immensité russe, de mesurer l'éloignement de ces familles, avant d'arriver chez elles avec un minimum d'humilité. De nombreux arrêts en gare nous révèlent également le quotidien de la Russie des
campagnes puisque nous aurons l'occasion de descendre du train à certains arrêts.
campagnes puisque nous aurons l'occasion de descendre du train à certains arrêts.
Une fois arrivés dans l'Oural polaire, c'est à bord d'une chenillette russe très "folklorique" que nous allons arriver chez les nomades. Ici tout est rustique, et il faudra s'en accommoder. Pas de douche, climat potentiellement désagréable, terrain parfois boueux... Ne vous attendez pas à du confort ! Nous partons avec une cuisinière pour ne pas trop
envahir nos hôtes et varier les repas.
envahir nos hôtes et varier les repas.
Quant à la migration, nous calons notre date de départ sur la saison où ils changent régulièrement de camp. La probabilité est donc forte d'avoir la chance d'y assister, mais ça n'est jamais garanti. Ce qui l'est en revanche, ce sont les couleurs de la toundra à cette période de l'année. Une vraie palette de couleurs du vert au rouge qui rend cette
destination et ce voyage si uniques.
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destination et ce voyage si uniques.
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Pour vous donner envie de vous joindre au groupe, voici quelques ambiances de nos précédents voyages en Oural Polaire.























